La fin des contrats aidés

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Christophe Castaner, le Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé des Relations avec le Parlement, porte-parole du Gouvernement a renvoyé les maires dans leurs cordes suite aux déclarations liés à la fin des contrats aidés.

Une rentrée scolaire difficile

Face à la suppression de contrats aidés, certains élus locaux s’inquiètent, car certaines écoles pourraient ne pas ouvrir.
D’après le porte-parole, les maires connaissaient la situation, car la baisse des contrats aidés avait été mis en place durant le mandat de François Hollande et votée en décembre 2016 avec la loi de finances 2017.

Christophe Castaner a déclaré vendredi dernier que la faute se trouvait du côté des maires : « l’irresponsabilité des maires qui n’ont pas prévu la rentrée scolaire » nous rapporte Jerome Rubinstein.

Ces contrats sont subventionnés par l’Etat, mais trop coûteux et inefficaces par le gouvernement qui en a diminué le nombre. Les contrats aidés devait permettre une meilleure insertion dans le monde du travail, en particulier grâce à des expériences professionnelles, y compris dans le secteur hospitalier et l’Education nationale.

La révision de 2017

Pour l’année 280 000 contrats été prévu par la loi de finances pour 2017, ce qui représentait une somme de 2,4 milliards d’euros, mais le nouveau gouvernement l’a augmenté à 293 000, puis à 320 000 selon Christophe Castaner. Toutefois cela reste moins que 2016 avec ses 456 723 contrats aidés.